Quand permettre une libération 🔓

La période de rodage

Au départ, vous devez trouver un appareil de chasteté confortable, sûr et hygiénique que votre mari peut porter pendant de longues périodes. Peut-être que votre mari a déjà acheté un appareil avant de vous approcher, peut-être que vous devez encore en acheter un ensemble. Dans tous les cas, vous devez vous assurer que l'appareil est adapté à un port à long terme et que la taille est correcte. Tout d'abord, commencez une routine tous les jours pendant six heures. Pas une fois de temps en temps, pas un jour par semaine, mais tous les jours, même s'il n'en a pas envie. Il y a deux objectifs ici. La première consiste à empêcher la présence de l'appareil de chasteté d'exciter l'homme. L'autre consiste à trouver la bonne taille, qui sera beaucoup plus petite que celle que vous pensez initialement trop serrée. Ensuite, laissez-le aller travailler avec, tous les jours pendant une semaine, sans pauses ni excuses. Encore une fois, l'objectif est de réduire constamment la prise de conscience de l'appareil de chasteté. Pendant ce temps, vous devrez peut-être utiliser un tube ou un anneau plus petit. Ensuite, laissez-le dormir dedans. Vous constaterez peut-être qu'il a besoin de quelques nuits pour s'habituer à cause des érections nocturnes. Une fois cet obstacle franchi, il peut passer une semaine entière sans se débloquer. Si la cage ne lui pose aucun problème, la période de rodage est terminée et vous pouvez enfin vous lancer dans le vrai enfermement.

La période de verouillement initiale (facultatif)

Après avoir traversé la période de rodage pour obtenir un appareil adapté, il est très amusant de signer un "contrat de chasteté" avec votre mari, comme celui que vous avez vu plus tôt. Le consensus général est de commencer alors par une longue période initiale de verouillement qui devrait être au moins trois mois de port continu sans libération. Pendant cette période, la cage de chasteté ne doit pas être retirée, même pour le sexe. Cela peut sembler un peu dur, mais c'est primordial pour votre succès car cela permet à son corps et à son esprit de s'adapter au manque de masturbation comme il le souhaite.

La durée de la période de blocage initiale doit être décidée par vous et vous seul. Pour un jeune homme excité qui est habitué à la masturbation quotidienne, trois mois peuvent être un peu trop, mais de même, vous pouvez envisager six mois ou plus si votre mari est plus âgé ou n'a pas une forte libido. Dans tous les cas, il doit être informé du délai à l'avance ; vous pouvez lui dire quelque chose comme : « N'y penses pas comme trois mois de chasteté, penses-y comme trois mois de préliminaires».

La plupart des hommes tiendront pendant de plus courtes périodes de déni et reviendront à leurs anciennes habitudes de masturbation et à fantasmer sur d'autres femmes une fois que vous les aurez laissées jouir et qu'ils s'attendent à de futurs orgasmes sur une base régulière, alors qu'un long enfermement initial lui dit que vous êtes engagée dans votre relation et qu'une fois qu'il vous a remis les clés, il n'y a pas de retour en arrière. Vous aurez mis un terme définitif à ses jours de masturbation derrière votre dos. Plutôt que de se faire plaisir quand il le veut, il se consacrera à vous faire plaisir quand vous le voulez et comme vous le voulez. Si votre mari renonce initialement à son souhait d'être chaste face à une si longue détention, il n'est pas encore disposé à vous céder le contrôle. Ne le poussez pas, rappelez-lui gentiment chaque fois qu'il aborde le sujet de la chasteté que vous ne le ferez qu'à vos conditions. Quand il acceptera, il sera prêt

Vous devrez être forte et tenir votre part du marché. Vous pourriez même, à son insu, garder la clé ailleurs, comme votre lieu de travail ou la maison d'un ami, afin que vous ne soyez pas tentés de le déverrouiller. Faire respecter la période initiale de confinement lui permettra de comprendre votre désir, votre engagement et votre détermination; cela vous donnera également la chance de développer la force de dire « non ».

S'il n'est pas du tout coopératif pendant cette période, vous devriez ajouter du temps supplémentaire à son enfermement. J'ai fini par donner à mon mari une prolongation d'un mois quand j'en ai eu marre qu'il me dise qu'il "avait besoin" de venir. Vous ne pouvez pas être trop strict en ce qui concerne la période de confinement initiale si vous voulez atteindre le triple objectif de devenir à l'aise avec le fait d'être responsable, de ne plus avoir le sentiment qu'il est de votre devoir de le faire sortir et de le faire sortir concentré sur son nouveau rôle de vous plaire sexuellement. Si vous n'avez pas atteint ces objectifs, prolongez le temps. Rétrospectivement, je suis heureuse d'avoir ajouté ce mois supplémentaire. Quand je l'ai finalement laissé sortir, c'était à mes conditions.

Vous avez également besoin de suffisamment de temps pour explorer comment faire en sorte que sa chasteté fonctionne au mieux pour vous. Je comptais les jours jusqu'à ce que je puisse à nouveau avoir des relations sexuelles avec mon mari, alors j'ai commencé à expérimenter et à réfléchir à la façon de lui apprendre à me faire plaisir sans avoir besoin de le déverrouiller ou de m'inquiéter qu'il éjacule accidentellement. Lorsque vous pourrez le faire, cela aura changé la dynamique de votre relation d'une manière qui vous place, vous et lui, sur la voie du bonheur à long terme. Il peut utiliser sa bouche, ses mains et divers jouets sexuels sur vous - je vous encourage à tout essayer. L'une des épouses à qui j'ai parlé obligeait son mari à la baiser presque tous les jours pendant la période de chasteté initiale, lorsqu'ils ne pouvaient pas avoir de relations sexuelles normales. Après un court laps de temps, elle a appris à jouir facilement de la stimulation orale et a maintenant plus d'orgasmes que jamais auparavant, peut-être en raison de l'amélioration des compétences orales de son mari ou parce qu'elle est devenue plus détendue maintenant que le sexe concerne principalement elle. plaisir.

À la fin de sa période de confinement initiale, je vous assure que vous pouvez lui faire vivre une expérience comme il n'en a jamais eu auparavant, c'est une récompense pour le couple. Lorsque vous le laisserez enfin jouir, ce sera presque trop difficile à gérer pour son corps.

Trouver un calendrier de diffusion qui vous convient

Une fois que vous lui avez permis sa première libération, c'est à vous de décider combien d'expériences sexuelles vous autorisez, comment elles se produisent et qui nettoie l'éjaculat. Mais à quelle fréquence devrait-il être autorisé à venir après la période de refus initiale ? Il y a quelques points de vue différents. Quel que soit le système que vous choisissez, il est généralement préférable de vous demander s'il ne serait pas préférable d'aller plus longtemps entre chaque.

Sorties programmées :

Certaines des jeunes femmes avec des petits amis ou des maris au début de la vingtaine les laissent avoir un orgasme environ une fois par semaine. Je soupçonne qu'ils se masturbaient quelques fois par jour avant cela, donc une fois par semaine, c'est une grosse réduction. L'opinion la plus courante est qu'il ne devrait pas y avoir plus d'une éjaculation par mois. J'ai personnellement trouvé qu'une bonne ligne de base est de ne pas autoriser les versions à deux chiffres, c'est-à-dire moins de dix par an. Vous constaterez peut-être que vous lui permettez d'être libéré tous les mois, puis décidez que vous aimeriez le faire partir pour une période plus longue. Vous devrez expérimenter et, en fin de compte, vous devrez faire ce qui vous convient le mieux, en reconnaissant que le moins souvent pour lui, le mieux c'est.

C'est le choix du couple traducteur. Tous les premiers samedi du mois (sauf octobre et novembre), le couple d'assoie environ 30 minutes sur le lit, Valérie habillée, Martin non, et discutent de comment le mois précédent c'est passé. Si Martin a fait un assez bon boulot de mari et de père, il a droit a un orgasme, ce qui arrive entre 5 et 9 fois par année avec un maximum de 10.

Ratio d'orgasme :

Certaines femmes aiment considérer la fréquence à laquelle leur mari peut avoir un orgasme comme une petite fraction du nombre d'orgasmes qu'elles ont eu. Un rapport de cent pour un est populaire, mais vous pouvez choisir le nombre qui correspond à vos besoins et obtenir un intervalle de temps entre les versions à peu près correct.

Fixer un objectif :

Certaines femmes aiment fixer des objectifs pour leurs maris, leur permettant d'avoir un orgasme plus tôt que prévu si un objectif important était atteint. Une des femmes à qui j'ai parlé voulait que son mari perde du poids. Elle lui a dit que leur relation était tellement meilleure avec lui enfermé dans son appareil de chasteté qu'il ne sortirait plus qu'une fois par an pour une libération, mais elle le laisserait sortir tôt une fois dans l'année pour chaque cinq livres qu'il perdait. et que pour chaque cinq livres qu'il gagnait, il obtiendrait trois mois supplémentaires à sa détention. Elle était ravie des résultats. Il a perdu cinquante livres au cours de l'année et a eu dix orgasmes supplémentaires. Peut-être que votre mari pourrait aussi devenir plus en forme, plus mince ou plus musclé avec la bonne motivation ?

Libérations arbitraires :

Vous pouvez ou non avoir discuté des règles, des arrangements et des horaires avec votre mari. Oubliez ceux-là sauf pour les règles que vous voulez. Vous, la détentrice de la clé, pouvez créer de nouvelles règles. C'est entièrement votre décision quand il peut éjaculer. Il y aura ce moment où la question se posera, "combien de temps jusqu'à ce que je puisse jouir". La réponse est "vous obtenez la chasteté, c'est tout". Pas d'horaire, pas de conditions. Même si, pour une raison ou une autre, vous lui avez « promis » un orgasme, vous restez toujours aux commandes et pouvez toujours spontanément décider de retarder sa libération.

Même si vous utilisez l'un des schémas les plus prévisibles où il peut « mériter » sa libération, ne laissez jamais votre homme développer la conviction qu'il a le droit d'être libéré. Les premières fois qu'il gagne son droit de sortir de la chasteté, acceptez-le, mais à un moment donné, dites-lui que vous avez changé d'avis : cette fois, il ne sera pas libéré. "Peut être demain." Vous ne trichez pas en faisant cela. Au lieu de cela, vous rétablissez les règles de base, dont la plus importante est que vous contrôlez. Peu importe à quel point il pense mériter un orgasme, vous avez toujours le droit de lui en refuser un si vous le souhaitez, pour quelque raison que ce soit et sans avoir à vous expliquer. S'il s'y oppose, dites-lui qu'il devra attendre encore plus longtemps. Une telle réponse est susceptible de faire taire tout autre argument.

En effet, environ une fois par année, Valérie accorde un orgasme, déverouille la cage, et change d'idée et remet le tube en place, sans raisons aparentes.

Prochain chapitre: Comment permettre une libération 💦